6 juin 2007
FILLON, LE CARAMEL DUR
Pourquoi un premier ministre qui disposerait, si l'on en croit les sondages, d'une majorité conséquente par le vote législatif à venir, s'obstine-t-il à fustiger avec un mépris sans nom ses adversaires socialistes? Il a parlé, pour mémoire, de la gauche...