PARRAINAGES : L'UN LES A, L'AUTRE PAS

Le Pen est mytho. Oui, il avait ses signatures depuis pas mal de temps le rigolo des extrêmes. Il veut juste, à chaque élection, faire son intéressant en inventant le suspense de la mort. S'il n'était pas si dangereux, je comparerai volontiers son personnage de méchant au pas regretté Georges Marchais! Le chichi efféminé en plus (vous connaissez ma théorie sur Le Pen frustré de la pédale!)... Bon, puisqu'on en est aux comparaisons marrantes et aux affaires de parrainages, j'ai adorrrrré l'interprétation des mimiques médiatiques de Roland Castro (ex candidat à l'élection présidentielle, me souffle dans mon oreillette Roland Cayrol, oui il vient juste d'abandonner la partie) par le blog Kandidatür (un vieux mais savoureux billet): En le regardant, "on a l'impression d'entendre la gouaille de Jean-Louis Borloo dans le corps de Jean-Paul Belmondo (si, si, c'est possible!)"

Julie