GEORGES FRECHE : AUCUNE MORALE, AUCUN SOUCI
Vous souvenez-vous que le sieur Frêche a été exclu du PS pour des propos ignominieux? Il est devenu "divers gauche" à Montpellier comme son "cousin en paroles idiotes", Vanneste, se présente à Tourcoing sous l'étiquette approximative du CNI. Deux hommes bien puants. Mais quand l'un, Vanneste, sourit à sa propre vanité en flirtant avec le lepéno-sarkozysme triomphant de l'après 6 mai, l'autre joue avec la déconfiture de son camp en développant des propos hallucinants de bêtise : "Les socialistes ne m'ont pas beaucoup invité pendant la campagne présidentielle. Maintenant qu'ils sont dans la merde, ils m'invitent un peu partout, à Nîmes, à Quissac, à Limoux, à Sète... C'est de bon augure. Je vais faire le tour de la région [...] Déjà deux postulants à la succession de Hollande m'ont appelé. Ils m'ont dit qu'en échange de mon soutien, ils me réintégreraient. Moi j'ai dit oui aux deux, pour l'honneur. Ma famille reste le PS. Jusqu'à ma mort. Mais divers gauche, ça me plait bien : en m'excluant, le PS m'a donné le goût de la liberté. Alors, un mois après la réintégration, je démissionnerai" (source : La Gazette de Montpellier)
Cela sent la belle enflure, le vomi politicien, la tractation utopique (car qui voudrait du soutien de ce pauvre sexagénaire pour rénover un parti qui a besoin de sang neuf?), cela sent le pied de nez du clown sans cervelle, le coup de gueule sans estomac, bref la conversation de bistro quand les verres se sont bien vidés. C'est marrant comme l'homme politique de petite envergure, dans les coups durs, se rapetisse au lieu de se grandir...
Julie
Google, au boulot : Politique - Législatives - Georges Frêche - Christian Vanneste - lepéno-sarkozysme - PS - CNI - Gazette de Montpellier - rénovation du parti socialiste