L'OMBRE PORTEE DE CECILIA
Oh le vilain petit Villach! Paul Villach, ce rédacteur d'Agora Vox me pardonnera, je l'espère, la familiarité déplacée de cette entrée en matière, mais l'article qu'il consacre à Cécilia femme de l'ombre est jubilatoire mais mérite une désapprobation officielle. Comment se permet-il de douter de la sincérité d'une femme si peu manipulatrice, si éprise de vérité et de sobriété, si discrète, si mal à l'aise, en somme, en compagnie d'un mari qui s'la pète? Non, Cécilia Sarkozy, fort humble dans son costume "négligé apprêté" (lire l'astucieux décryptage de la pose photographique en couverture de Elle), n'est certainement pas amateur de pipolisation de sa propre personne. Elle a juste voulu expliquer aux français. Humblement. Par deux fois en deux jours. En toute discrétion. En catimini. Il fallait dire. Il fallait expliquer. Il fallait poser. Il fallait se montrer. Il fallait exister. Mais en toute discrétion. Sans mise en scène. Sans mentir. En catimini. Dans l'ombre, comme une femme qui change de vie. En partance. Mais discrète. Terriblement discrète. Sans doute gênée par les lumières du photographe. N'ayant jamais pensé que Elle était un magazine à grand tirage. Ne voulant pas incarner le divorce. Seule et discrète. Oui, trop discrète. Humble dans sa solitude discrète. Seule dans son humilité de femme vertueuse. Ne voulant plus mentir. Sobre. Dans l'ombre. Discrète. Si discrète...
Ainsi, sans rien étaler d'elle-même, Céci impératrice s'en est allé. En toute discrétion.
Julie
Google, au boulot : Cécilia Sarkozy la seule pipole qui aime l'ombre - Agora Vox - Paul Villach