L'IRAN, LE PAYS OU LA VIE EST MOINS CASHER
Oui je sais mes amours, le jeu de mots en titre de ce billet est débile et douteux. Mais je préfère le doute que j'exprime sur mon propre humour, teinté d'une stupéfaction et d'une colère raisonnées, réagissant à la conférence sur l'holocauste de Téhéran, à la négation irrationnelle d'une souffrance historique. Parce que les victimes des camps ont existé, parce que le négationnisme est un crime, le malaise doit aller du côté de ceux qui osent nier et recomposer l'histoire. L'histrionne de ce blog n'est ici que pour ricaner de honte - prête à vomir - pour toute cette humanité qui se trompe. Téhéran se meurt de honte. Téhéran entre dans l'histoire de la honte. J'ai honte à mon tour d'avoir saisie cette information, et honte d'avoir honte d'en faire un sujet léger, un sujet de blog. Fin.
Julie