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coming ouSt
9 septembre 2007

ARDISSON ET RUQUIER : LE VIDE ET L'ENTRAIN

La rentrée des émissions de télé de divertissement donne l'occasion de voir se produire sur un plateau la pensée fulgurante de nos hommes politiques, en tout cas ceux qui veulent qu'on les croient en première ligne. Ardissson, sur Canal+, a ainsi invité Copé (UMP) et Ruquier, sur France 2, de son côté, donna largement la parole à Mélenchon (PS), tous deux entourés d'artistes ou d'écrivains. Copé fut consternant de platitude et de dédain souriant, n'ayant finalement rien à dire d'autres que je me suis remis de la sale blessure de ne pas être ministre (c'est fou le nombre de politiciens qui, comme Royal, cicatrisent, en ce moment). Quant à Mélenchon, dont je me moque souvent ici, il a été intellectuellement pugnace, notamment devant un Eric Zemmour très en forme mais jésuitique (Zemour, faut arrêter de penser que la mondialisation est le fruit de l'internationalisme socialiste, historiquement et idéologiquement cela n'a aucun sens. Fin du message personnel). Bref, deux styles d'invités, deux styles d'émissions aussi. Ardisson s'est montré assez niais dans le rire sans jamais lier le rire à l'idée, Ruquier, fort à l'aise dans le débat, arrivant à mélanger subtilement l'aiguillon du futile et celui de l'analyse profonde, a livré une émission intelligente et agréable et qui donna naissance à de nombreux fous rires. Je ne suis guère adepte de ce genre d'émissions. J'ai arrêté Fogiel depuis belle lurette, et je me fais des piqûres de Denisot à doses homéopathiques. Mais force est de constater que Ruquier est le grand gagnant du genre.

PS : Jonathan Lambert, clown chez Ruquier, m'a fait pleurer de rire avec... ses couilles greffées dans la main. Je sais Chantal, c'était vulgaire, mais un peu de vulgarité ne nuit pas à l'aisance de nos âmes (oh putain la chute de ce billet !)

insolite_218 Julie


Google, au boulot : Télévision - Emissions de divertissement - Politique - Ardisson - Ruquier - Fogiel - Denisot - Eric Zemour - Copé - Mélenchon - Royal - mondialisation -  Jonathan Lambert - couilles (c'est vulgaire, couilles?)



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Commentaires
G
Je suis pour l'essentiel d'accord avec vos remarques. <br /> Sur le choc des civilisations, il est clair qu'il y a une part nette d'instrumentalisation. Mais cela donne de la substance à la thèse. C'est la partie sur les cohérences de chaque système, avec l'Etat-leader qui est la moins avérée de la thèse d'Huttington. Il n'y en effet pas d'Etat-leader du monde musulman, d'où aussi une cacophonie. <br /> <br /> Sur le retour historique, dès que la Croisade bat de l'aile, au XIIIe, on voit fleurir ces projets sur la reconquête de l'Outremer qui passe par des chimères unificatrices. Le mention de l'empire universel Habsbourg et ses prétentions au leadership est parfaitement adaptée. Vous noterez, avec une certaine perfidie, que c'est à nouveau la France qui joue le pont avec l'autre camp. N'oublions pas les manifestations du Caire en 2003, "Chirac, roi des Arabes!". On aurait pu leur donner en cadeau...<br /> <br /> Alors, cynisme peut-être, mais je crois que ce type de menace a en effet un rôle fédérateur et organisateur des sociétés. Et peut le jouer pour la notre. Et donc briser le politiquement correct de la société multi-culturelle.<br /> Vous noterez que l'Eglise rejette soigneusement toute confrontation des civilisations, préferant accompagner la décadence de l'Occident que de lutter contre. De la même façon, elle est aujourd'hui incapable d'affirmer que la foi des musulmans est radicalement incompatible avec des chrétiens et doit être assimilée à une erreur théologique (docétisme, nestorianisme entre autres...) Mais cela demanderait une vigueur qu'elle est loin d'avoir. On se demande même à quel point l'Eglise ne se réjouit pas de voir l'Islam ébranler la laïcité et n'espère pas en récupérer quelques miettes. <br /> Ah, comme disait un rapport de la CIA en 1967, "L'Eglise catholique ne peut pas être considérée comme une alliée sûre des intérêts occidentaux, il faut donc l'affaiblir en implantant des sectes évangéliques sur son territoire." On a vu la suite. <br /> <br /> Après avoir longuement réfléchi et médité sur la question de l'attitude à adopter face à l'expansion de l'Islam à notre époque, je ne crois ni à une stratégie de confrontation, ni à une stratégie de corruption. Si solution il doit y avoir, ce qui n'est pas démontré, elle passe, pour moi, par l'ordre spirituel. <br /> <br /> Sur l'avenir de nos sociétés multiculturelles, je souscris à votre opinion, quelque chose d'autre est en train d'émerger - et émergera dans la souffrance. Mais je ne suis pas fataliste, et je crois sincèrement qu'il est en notre pouvoir d'influer, au moins un peu, sur ce qui doit être. D'où l'engagement, multiforme, et inlassable. <br /> <br /> Votre dernière réflexion, sur la relativité temporelle de nos convictions, à un petit coté fantastique qui me plait. De même, les convictions religieuses qui sont les notres aujourd'hui seraient une horreur pour ceux des siècles passés (surtout celles de Julie !). Mais nous en avons autant à leur service sur d'autres choses. <br /> Je crois néanmoins à une certaine permanence du référentiel humain à travers les ages. A voir si la génétique et la cyber-réalité viennent pertuber cet invariant dans les siècles à venir. <br /> <br /> Sur Irminsul, les glands ont dû tomber profonds, car de nouveaux fidèles de Wotan se lèvent en ces heures de Gotterdamerüng. Même si mes sympathies mythologiques vont plus au nord.
D
Votre réflexion est intéressante. Je dois cependant vous avouer que je ne crois pas un instant à la thèse d'Huntington, qui constitue à mon sens une explication simpliste des soubresauts actuels qui secouent la planète. Pour qu'il y ait un choc, il est nécessaire que les forces en présence soient chacune homogène et monolithe, ce qui n'est le cas ni de l'Islam ni de l'Occident (pour autant que cette dernière terminologie conserve un sens). D'autant qu'il existe aujourd'hui une interpénétration des "blocs" définis par Huntington, et la mondialisation accélère encore ce phénomène. Huntington établit des ensembles de manière arbitraire, et en déduit des conséquences pour le moins contestables.<br /> <br /> Sur le plan géopolitique, cette thèse est néanmoins fort utile à d'aucuns, qui se plaisent à réinventer à leur profit un vieux combat aux accents millénaristes. Un combat dont ils seraient d'ailleurs les seuls bénéficiaires ! Rien ne mobilise mieux autour d'un empire qu'un adversaire commun, que l'on prétend menaçant et résolu à votre anéantissement. <br /> <br /> Remarquons encore que le fond de cette fameuse thèse n'a rien de nouveau. Vous retrouverez des écrits du même type au XVIème siècle, ceux-ci étant alors destinés à justifier la prédominance de Charles Quint sur les puissances européennes dans le cadre de la lutte contre l'empire Ottoman (particulièrement menaçant notamment en Méditerranée à cette époque). Le thème de la lutte contre les Infidèles permettait, en effet, de légitimer les prétentions de Charles Quint à l'exercice de la suzeraineté sur les "rois d'Occident". A l'appui de ces aspirations, l'entourage intellectuel de Charles exhuma de vieilles thèses du XIème siècle, et notamment celles du jurisconsulte Uguccione da Pisa qui s'inspirait directement du modèle romain. Notez que les rois de France ont toujours résisté à ces thèses en s'alliant secrètement avec l'ennemi de la chrétienté. <br /> <br /> Aujourd'hui, la rencontre entre l'Islam et l'Occident ne se fait pas sur une ligne de front défini. Il n'y a pas une rencontre, mais des millions de rencontres et d'interpénétrations, tant d'un côté que de l'autre. Qu'il y ait d'un côté ou de l'autre des fondamentalistes qui prônent un repli sur soi n'a rien d'étonnant, et on ne peut pas en déduire pour autant qu'ils représentent l'Islam ou l'Occident.<br /> <br /> S'agissant des sociétés multiculturelles, ce que vous dites est juste. Mais le combat qui sous tend vos propos est largement dépassé. Nos sociétés, dites "occidentales" sont déjà des sociétés multiculturelles. Je ne vois pas comment elles peuvent revenir en arrière, ni même comment elles pouvaient l'éviter. Demain, elles enfanteront "autre chose" dans la douleur que vous prévoyez. Elles y mettront peut-être deux ou trois siècles. Cette autre chose surgira de profondeurs qui, à votre échelle, peuvent vous apparaître cataclysmiques. Ce phénomène s'est déjà produit des milliers de fois dans l'histoire. Quant aux mythes unificateurs, ils sont sans cesse réinventés par les hommes. Les dieux païens ont laissé la place à d'autres divinités dont le culte a permis de forger d'autres ensembles et de développer d'autres cultures sur la base des ruines du monde ancien. Vos propres mythes unificateurs auraient éberlué aussi bien un athénien qu'un ἄστοι spartiate du Vème siècle avant notre ère. Un dieu (ou le fils d'un dieu) cloué sur une croix apparaissait aussi comme un "scandale pour les païens" aux temps du Christ (Paul le dit lui-même).<br /> <br /> Le GM du XXIème siècle est peut-être comme ce Saxon qui vit l'horrible déracinement d'Irminsul, et vécut ce temps de cataclysmes et d'effondrements en pensant que rien ne lui survivrait. <br /> <br /> David
G
Sur les médias, je souscris à ce que dit David. Et comme il le dit bien, je n'ai pas à y revenir. Ouf !<br /> <br /> En revanche concernant le marxisme et la mondialisation, nous devrions pouvoir approfondir. Les analyses faites par Karl restent pertinentes sur bien des points, notamment sur infrastructure/superstructure, sur la morale bourgeoise, sur la loi d'airain des salaires. Il faut un peu dépoussiérer pour s'en servir efficacement, mais il reste des choses utiles.<br /> Bien évidement, ses solutions...<br /> <br /> Mais, sur la notion de mondialisation, je pense qu'il avait vu juste, en ce qu'elle dissout les nations et les cultures. Et nous revoilà avec Huttington: en provoquant la rencontre, elle provoque le choc. C'est bien cet accélérateur des conflits mondiaux qui oblige tout un chacun à se positionner sur le vaste théatre des opinions et des sensibilités. L'islamisme nait d'un rejet de la rencontre massive avec l'Occident. Le renfermement culturel perceptible en Inde et dans une moindre mesure en Chine (pour cause: il n'y a pas eu d'ouverture !) vient aussi de cette rencontre forcée.<br /> La mondialisation a ainsi été le catalyseur de la nouvelle internationale verte. <br /> Mais ne nous y trompons pas, la mondialisation n'a été que l'accélérateur, le choc des cultures et des civilisations aurait eu lieu de manière inéluctable. Une attitude protectioniste ne l'aurait que retardé.<br /> <br /> Il est de ma conviction que les sociétés multiculturelles sont destinées à l'échec. Soit par leur faiblesse intrinsèque qui les livre à des peuples plus forts et plus unis, soit plus souvent par leur propre déliquescence. L'option de transcender les différences culturelles d'une société dans un mythe unificateur ne tient qu'un temps ou alors débouche sur une assimilation qui détruit ces différences culturelles.<br /> Je pense que les facteurs multiconfessionnels et multiethniques aggravent les facteurs multiculturels. <br /> Comme vous pouvez le percevoir, la France d'aujourd'hui regroupe l'ensemble des éléments de risque. D'où un pessimisme certain sur la suite des événements. Et aussi la nécessité de l'opium télévisuel du peuple.
D
Chère Julie,<br /> <br /> Tout d'abord pour vous montrer ma bonne volonté et mon amitié à votre égard, je n'interviendrai pas sur le point cité au début de votre dernière intervention.<br /> <br /> Pour répondre à votre question concernant mon âge, je resterai sobre afin de ne pas rompre déjà ma promesse liminaire : je dois avoir à peu près le même âge que vous, Julie. C'est Marie-Pierre Casey qui me l'a dit, et d'habitude Marie-Pierre ne raconte pas de conneries !<br /> <br /> Au passage, je dois signaler que MP Casey était le sosie de Colette, ma prof de math de 4ème ! Colette, si tu nous lis, …. !<br /> <br /> Pour le reste, je trouve que vous personnalisez beaucoup le débat Julie. Vous n'étiez en rien visée par mes critiques qui concernaient les émissions de divertissement à la télévision et les hommes politiques qui y participent. Bien sûr que je pense que la télévision française est lamentable, médiocre et avilissante ! Je ne vous dirai pas le contraire. Je la conteste surtout en tant que système. Car, à mon sens, cette "médiocratie"-là n'est pas le fruit du hasard (le hasard de la nullité et de la vulgarité rencontrant l'argent). Elle constitue un outil de manipulation de masse très commode, et elle est utilisée comme telle. Les émissions de divertissement n'échappent naturellement pas à la règle. Je m'étonne toujours que la gauche, qui s'arroge le monopole de la défense du peuple opprimé, n'engage pas une lutte contre cette médiocratie. En effet, la gauche devrait vouloir ce qu'il y a de mieux pour les masses populaires qu'elle défend, pour les élever et leur permettre de gravir l'échelle sociale (ou l'ascenseur social, comme on voudra). Or, une partie de la gauche a pactisé avec ce monde de paillettes, et n'émet guère de critiques audibles sur le système médiatique. Je conçois parfaitement qu'il faille produire des émissions qui satisfassent tous les goûts. En revanche, je n'accepte pas la vulgarité, la manipulation politique ou intellectuelle (c'est-à-dire tout discours, toute approche, soumise à une échelle unique de valeurs), l'hypocrisie de ces dieux de l'écran qui, par le biais de contrat avec leurs propres sociétés de production, encaissent des sommes astronomiques lorsqu'ils oeuvrent au sein de chaînes publiques (quand, dans le même temps, les pouvoirs publics ont le front de réclamer une redevance audiovisuelle aux Français propriétaires d'un poste de télévision). <br /> <br /> Certains auteurs ont toujours refusé de composer avec ce système. Je pense notamment à Philippe Muray (que j'apprécie et que je citais précédemment) ou Michel Houellebecq (que j'aime moins, bien qu'il me fasse beaucoup rire lorsqu'il décrit notre époque), et ce, malgré la pression des maisons d'édition, des attachés de presse, etc. Cette attitude les honore.<br /> <br /> Réactionnaire ? Dans la mesure où toute personne qui se trouve politiquement à la droite d'un gauchiste est tôt ou tard un réactionnaire, j'accepte volontiers ce qualificatif qui ne m'horrifie ni ne me fait trembler.<br /> <br /> En revanche, l'obsolescence des idées et des analyses politiques a plus de chance de toucher ceux qui se réfèrent à une philosophie et des modes de pensées issu d'un auteur du XIXème siècle, que de frapper les pragmatiques auxquels j'appartiens.<br /> <br /> Julie, la notion de libre circulation des marchandises entre les pays n'a pas changé depuis le XIXème siècle. Le débat est le même : droit de douane pour protéger les produits "nationaux" des importations très concurrentielles (de l'Angleterre à l'époque), menaçant l'emploi et le salaire des ouvriers, etc. Relisez le discours de Marx ! Si les solutions qu'il propose sont complètement obsolètes et ont montré leur faillite, il n'empêche que la description objective des mécanismes économiques contenue dans ce discours pourrait être encore soutenue aujourd'hui. Vous savez Julie, le XXIème siècle n'a pas tout inventé, ni réinventé !<br /> <br /> Enfin, vous vous méprenez gravement sur l'idée que je me fais de vous et de Coming OuSt. Je vous apprécie tous les deux (ou toutes les deux, si Coming OuSt est aussi du genre féminin !). Vous êtes intelligente, pleine d'humour et faites preuve d'une rare profondeur d'analyse (sous vos airs de rire de tout !). Donc, vous avez nécessairement de l'envergure. Mais vous avez plus : cette conception de la liberté et de la tolérance qui, chez vous, ne se résume pas à des mots. Enfin, j'aime la manière dont vous répondez aux critiques ou aux provocations. Tout ceci, je vous l'ai déjà dit et vous me le faites répéter. Moi qui ai horreur de faire des compliments ! Alors, imprimez cette page et ne recommencez pas à vous étonner de ma présence sur Coming OuSt.<br /> <br /> David
J
A SuperNo : je vous comprends : Rien à cirer était un OVNI de déconne fort divertissant qui, peu ou prou, participait de cette liberté salutaire des années 90 à l'image de ce que Nulle part ailleurs fut pour les années 80. A l'évocation de ces ancêtres, je signe mon âge. Ne comptez pas, les chéri(e)s, s'il vous plait...<br /> A David : Vous qui êtes le plus féroce gardien de ma décrépitude de femme (si, si, relisez-vous, méchant!), vous ne devez pas intervenir sur ce point. D'ac? Par ailleurs, votre propos que je reconnais de bout en bout comme appartenant à ce groupuscule qui méprise la médiocratie, et la médiologie de Régis Debray parce qu'elle est un emballage intellectuel de l'autre, m'amuse et me consterne. M'amuse parce que je reconnais notre terrain commun : la volonté d'élever le débat, de construire du sens comme disent les cathos qui ont besoin sans cesse de se dire que l'homme a du sens dans l'univers pour se définir comme une poussière de cet univers même, mais une poussière éternelle (et ayons une pensée pour Marie-Pierre Casey qui glissa un jour sur une table pour prouver l'existence de Dieu - là les moins de 72 ans qui me lisent ne comprennent plus rien !- ayons aussi, donc, une pensée pour la futilité de la publicité pour PLIZZ), je reconnais aussi notre volonté similaire de dédaigner les amusements du peuple. D'ailleurs citer Kierkegaard s'inscrit dans l'objectif de se faire rempart élitaire contre la merde ambiante donc médiatique... <br /> Venons-en à ce qui me consterne. Car, pour ce qui est du fond, certes je souscris bizarrement à l'analyse de Marx MAIS cependant soyons sérieux, David. Vous savez bien que les notions n'ont pas la même valeur au XIXe et au XXIe siècle. Le libre échange dont parle le marxisme n'a rien à voir avec la globalisation du marché dont on peut mesurer les effets étranges dans nos sociétés riches.<br /> Pardon enfin pour le titre de ce commentaire qui est polémique. Votre écho est adorable (d'ailleurs je me demande pourquoi vous venez sur Coming OuSt pour vous opposer alors qu'il est si simple de me juger une géniale petite chose qui analyse l'état des choses sans envergure mais avec une énergie pimpante bien plaisante, ah ah) mais votre écho est aussi fort réactionnaire. Quel âge avez-vous, David? 78 ans? 409 ans? 666 ans? <br /> PS : la télé, je m'en fous, vous devez vous en rendre compte. Ce qui m'amuse est de m'amuser... Et, hormis la page 118 des Etapes sur le chemin de la vie (coll. Tel, Gallimard) qui affirme qu'à chaque période de sa vie une femme est "une parole dite à propos", Kierkegaard, que j'ai beaucoup lu, comme vous, n'a peu fait rire. En tout cas, il me fait moins rire que Nicolas Sarkozy.
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