QUELLE EST LA DIFFERENCE ENTRE SARKOZY ET JULIE ?
Y'en a pas. "Avec Constance c'est du sérieux" murmure, penaude, la madone de ce blog. Depuis 15 jours qu'elle broute minou dur dur avec une jeune écervelée au corps généreux et à la tête extrêmement pleine, la Julie de ce blog est aux anges. Me voilà à égalité avec ce président si cher aux français (si cher ! suis-je drôle en ces périodes de pouvoir d'achat qui fond), me voilà une petite chose miroir de la bling bling attitude. Sauf que je m'arrête là. Et même que je rectifie dare dare. Bin oui, je ne sais pas, bande d'andouilles, si avec Constance c'est du sérieux. J'ai beau m'extasier sur son corps d'albâtre, sur ses courbes de musée, sur son intelligence céleste, sur sa manière d'enthousiasmer Chantal, je ne puis être aussi sotte que le locataire de l'Elysée est sot pour penser que la moindre personne humaine ne puisse véhiculer doute et déception. La moindre personne humaine, c'est moi. Bref, je ne suis pas encore prête pour claironner plus loin et me fendre d'une bague qui écornerait mon livret de Caisse d'Epargne.
Je sens que j'en déçois plus d'un.
Je sens que je dégringole du pied de vestale construit par mes lecteurs politisés en manque de parole libre. Quoi, pensent ces derniers, Julie est aliénée, la petite bourrique? Julie est inféodée, Julie est amoureuse?
Non, non. La pudeur veut que je vous fournisse un démenti cinglant : penser l'aléatoire est une vertu d'adulte. Je ne veux pas ressembler à ce gamin fée (les plus cultivés remarqueront une vague allusion aux écrits misérables de Victor Hugo ici) que représente le Peter Pan de la Lanterne. Monsieur Sarkozy, je ne veux pas vous ressembler. Monsieur Sarkozy, vous êtes certainement plus heureux que je ne suis heureuse. Vous croyez que c'est votre force, moi je pense que c'est votre faiblesse. Et la vie est fragile, quoique nous pensions....
Julie
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